Endométriose : individualiser sa prise en charge grâce à la biologie fonctionnelle

L’endométriose concerne prêt de 10% des femmes.

Elle évolue sur un terrain inflammatoire. Les douleurs et l’hypofertilité de la patiente sont corrélées à l’importance de l’inflammation. Ainsi, les traitements anti-inflammatoires peuvent soulager les symptômes, mais ne régleront en aucun cas l’origine de l’inflammation de la patiente.

Les cellules endométriosiques se développent sous l’effet des œstrogènes, tandis que la progestérone freine leur développement. Ainsi, tout déséquilibre oestroprogestatif favorisera le développement de la maladie. La pilule contraceptive ou la ménopause artificielle sont alors souvent proposées en solution.

Loin d’être fonctionnelles, ces propositions thérapeutiques occasionnent de nombreux effets secondaires et ne règlent pas les problématiques profondes à l’origine de l’endométriose.

Au cours de cette intervention, Guénaëlle Abéguilé vous invite à découvrir comment la biologie fonctionnelle peut nous aider à explorer les fauteurs de troubles présents chez chaque patiente.

Ces explorations vous permettent de proposer une prise en charge fonctionnelle, individualisée, la prise en charge des causes profondes de la patiente.